Sois fière de ce que tu es, de ce que tu représentes, mais n'hésite pas à te remettre en question. Ne regrette rien, car les expériences font ce que tu es aujourd'hui. Ne te plains pas, car les épreuves te rendent plus fortes. N'aie pas honte de tes pensées ni de tes croyances, ce sont elles qui te définissent.
Ne t'attarde pas sur les insultes et les critiques, à moins que celles-ci soient constructives. Chaque matin est un nouveau jour pour devenir meilleur.
Chaque matin est un nouveau jour pour aimer.
Dimanche 2 mai 2010 à 21:46
Qu'on se le dise, ce sont quasiment toujours les égoistes qui finissent par être récompenser. Elle s'est mise dans la merde. Un bordel monstre. La mouise complète. Sans penser aux conséquences, aux autres, aux emmerdes, tout ça pour se sentir mieux, elle, rien qu'elle, pendant des instants éphémères. Et qui prend sur le long terme, finalement ? On est tous de la partie.
Elle ne se prend pas en main, il faut qu'on lui la tienne, quoi qu'elle dise, quoi qu'elle fasse, elle n'y arrivera jamais d'elle même, malgré sa putain putain de fierté, toute forme de courage l'a quittée. Elle est pathétique, elle a besoin d'aide, cette aide qu'elle finit toujours par rejeter. Son esprit retourné, son cerveau embrûmé d'un brouillard qui ne disparaîtra plus jamais. Comment peut-on être conne à ce point ? Tout me débecte, je pourrais vomir cette attitude monstrueuse. Néfaste au plus au point. Pour elle, et surtout pour les autres.
Je voudrais lui enfoncer la tête dans l'eau, lui hurler « TU COMPRENDS ? TU COMPRENDS MAINTENANT ? », la tenir par les cheveux et lui écraser le crâne au fond, jusqu'à ce qu'elle se rende compte, jusqu'à ce que le plus dur lui vienne en plein dans les yeux, une révélation. Jusqu'à ce qu'elle regarde autour d'elle une fois pour toute et qu'elle voye ce qu'elle a provoqué.
Elle ne comprendra pas. Je ne ferais rien. Je me tais, las de ces histoires. Comment pourrais-je leur balancer tout ça sans immédiatement paraître monstrueuse à mon tour ?
Samedi 26 septembre 2009 à 17:13
Vendredi 25 septembre 2009 à 23:05
Cette impression incessante de tout faire de la mauvaise façon, de n'être jamais sur la bonne longueur d'onde. De voir les choses d'une telle manière que jamais personne ne pourra penser pareil que vous. Se sentir si seule avec pourtant tellement de personnes à qui parler, mais que vous savez pertinemment incapables de vous comprendre. Vous trouvez étrangement que ce que vous pensez devrait être identique chez tout ceux que vous fréquentez, mais malheureusement vous finissez toujours par vous rendre compte que vous avez une vision différente de tous vos proches.
Pourquoi ? Est-ce votre éducation ? Ce que vous avez vécu, subit, supporté, reçu ? Comment la manière d'éprouver les choses peut-elle varier au point où vous vous sentez exclue de ne pas considérer le monde, les sentiments, l'amitié et l'amour de la même façon ?
Après tout, peut-être que je suis folle.
C'est ça, je suis cinglée.
Lundi 21 septembre 2009 à 0:53
Je t'aime trop fort, ça te dérange.
Mercredi 15 juillet 2009 à 16:35